À l’occasion de la sortie de "Room 237", un documentaire de passionnés sur "Shining" qui décortique le film de Kubrick pour en révéler chaque symbole et y prêter des intentions au réalisateur, Abus de ciné s’est penché sur le K Kubrick : le réalisateur, l’homme, ses films pour évoquer nos souvenirs de cinéphiles, retracer son parcours, vous dévoiler nos longs-métrages préférés et revenir sur la genèse de son film d’épouvante "Shining".
Critique de "Room 237"
De tous les films de Kubrick, « Shining » est celui qui aura stimulé le plus l’imagination des spectateurs cinéphiles tant les différences entre le film et le livre de Stephen King, dont il est adapté, sont nombreuses et prennent une importance toute particulière dans le long métrage. Dans "Room 237", présenté à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes 2012, Rodney Ascher a donc interviewé cinq fanatiques du film qui délivrent, tour à tour, leurs décryptages de scènes, parfois plan par plan, leur vision thématique de l’œuvre générale et les petits secrets que Kubrick… >> Lire la suite
Hommage à Stanley Kubrick
Souvenirs, émotions, les rédacteurs d’Abus de ciné évoquent leur rapport avec le réalisateur Stanley Kubrick, du temps où les vendeuses proposaient des chocolats glacés dans les salles de cinémas et où la VHS était la reine du salon… >> Lire la suite
Parcours : Stanley Kubrick
Partie 1 : 1928 – 1963
Stanley Kubrick est un réalisateur hors norme qui restera comme un cinéaste majeur de son temps – le XXe siècle – et certainement de tous les temps, avec une filmographie composée de « seulement » 13 longs-métrages de "Fear and desire" en 1953 à "Eyes wide shut" en 1999… >> Lire la suite
Partie 2 : 1964 – 1999
Deuxième partie de notre analyse du parcours de Stanley Kubrick, de son dernier film en noir et blanc "Docteur Folamour", à son dernier film en couleur "Eyes wide shut", qu’il finit de monter peu avant de mourir d’une crise cardiaque… >> Lire la suite
Il était une fois... Shining
Avec "Shining", sorti en 1980, Stanley Kubrick parvenait à faire ce que la plupart des réalisateurs tentent vainement de reproduire depuis dans le genre de l’horreur : créer des images qui restent parmi les plus terrifiantes de l’histoire. Que celui qui n’a pas tremblé en voyant la vague de sang se déverser entre les portes de l’ascenseur de l’hôtel Overlook, ou sursauté face aux apparitions des sœurs Grady au bout du couloir, nous jette la première hache... >> Lire la suite
Mathieu Payan
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