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Deauville 2008: Jour 10 - Johnny Mad Dog et cérémonie du palmarès pour finir de faire vibrer les festivaliers

Photo Deauville 2008: Jour 10 - Johnny Mad Dog et cérémonie du palmarès pour finir de faire vibrer les festivaliers On ferme les parasols, "il est temps de rentrer à la maison"

Dimanche 14 septembre 2008

Le Prix Michel d'Ornano 2008 a été présenté aux festivaliers ce matin. "Johnny Mad Dog" tire le portrait d'enfants soldats en Afrique embarqués précocement dans une guerre qui n'est pas la leur. Récit poignant. Le prix reçu permettra d'offrir une enveloppe de 3 000 euros à la Fondation Johnny Mad Dog créée pour bâtir un programme d'aide aux enfants soldats africains.

Critique prochainement en ligne

La cérémonie de clôture a permis de revivre les grands moments de cette semaine riche de films et de rencontres. Elle aura rappelé aussi les vibrants hommages consacrés à Spike Lee, Parker Posey et Ed Harris.

Le prix de la critique internationale est revenu cette année à "Gardens of the night" et Zoé Cassavetes et son jury ont décerné le prix de la Révélation Cartier à "Ballast".

C'est ensuite au tour de Carole Bouquet d'entrer sur scène, suivie de son jury mené tambour battant par un Edouard Baer qui a conquis les festivaliers ! On retiendra deux choses du discours de Carole Bouquet. La première "Il est temps qu'on rentre à la maison !" et la seconde "Nous avons regardé les films de la compétition avec les yeux grands ouverts et avec le cœur."

Le cœur du jury est donc allé, pour son prix, à "Ballast" à nouveau récompensé ce soir-là.

Et enfin, le Grand prix du jury a couronné notre coup de cœur, notre chouchou, notre film préféré, celui qu'on espérait voir sous les feux de la rampe : "The visitor". Bravo aux jurés pour leur palmarès !
Voir aussi notre photo ci-dessus de Benoit Michou.

Le film de clôture, "Une histoire de famille, premier long-métrage de la comédienne Helen Hunt, a permis de finir les festivités sur une note légère avec ce film gentillet et qui nous décroche quelques fous rires.

Niveau +1
Lire la critique de "Une histoire de famille", signée Olivier