© Bodega films
Oliver et Svenja forment un jeune couple modèle et viennent d’emménager à Frankfurt. Alors qu’Oliver a été recruté par une grande banque, Svenja erre dans les rues de la cité froide, à la recherche d’un emploi. Dans son errance, elle va croiser le chemin du grand patron de son mari, avec lequel elle va entretenir une relation passionnelle par ennui, puis par masochisme…
Il y a des films à la vision desquels on ne comprend pas ce dont on a voulu nous parler, et dans lesquels le comportement des personnages et la raison de leurs actes nous échappent totalement. C’est exactement ce qu’un spectateur ressentira en faisant l’expérience de « Under Dir die stadt » !
Sur fond d’univers bancaire (thématique très en vogue depuis la « crise » de ces dernières années), on tente de nous narrer le quotidien masochiste d’une jeune femme manipulatrice, ancienne junkie, ainsi que celui d’un homme puissant que « l’amour » fera quelque peu perdre pied, dans une ville où la seule figure de style possible semble être la plongée…
Interminable errance, liaisons dangereuses à la crédibilité contestable et jeu d’acteur digne d’une série B allemande… A cette accumulation de faits incompréhensibles s’ajoute une fin dénuée de tout sens, qui fait d' « Under Dir die stadt » ("The city below") une des énigmes du Festival de Cannes 2010.
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