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Jim Morris est l'entraîneur d'une équipe de base-ball d'un bled du Texas, où les jeunes (et les subventions) sont plus orientés vers le football américain. Pour trouver une motivation, ses joueurs lui proposent de gagner la coupe, en échange de quoi, il devra repasser les essais de qualification pour les clubs professionnels, ce qu'il avait raté étant jeune, du fait d'une blessure au bras…
Rien de bien neuf du côté de ce film de sport, à la gloire de l'aboutissement personnel, qui lorgne plus du côté de 'Fields of dream', que de 'L'enfer du dimanche'. Vous l'aurez compris, 'Rêve de champion' creuse le sillon des rêves brisés, des frustrations et autres brimades de l'enfance. Il exploite le lacrymal, au travers de cette vocation contrariée qui est en la plupart de nous. Et grâce au charisme de Dennis Quaid et à la compassion de son épouse Rachel Griffiths (trop rare au cinéma), cela fonctionne. Rien de bien original, mais des larmes plein les yeux et une grosse boule dans la gorge.
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