Un prisonnier condamné à la peine capitale bénéficie d'un dernier sursis en participant à une expérience scientifique liée à l'ADN des moustiques. Arraché au couloir de la mort, il fausse compagnie à ses gardiens et se réfugie dans le laboratoire où il déclenche une violente explosion. Contaminé par une substance hautement toxique, il mute alors en une abomination assoiffée de sang…
Parker Lewis ne perd jamais… et bien des fois on souhaiterait le contraire. Et oui, c'est bien le détective Lewis que l'on retrouve aux prises avec Mme Musso… euh… le Mosquitoman… Malheureusement sa bête de copine est la scientifique qui travaille sur le projet mosquito (recherche d'un sérum contre une maladie transmise par les moustiques) et se trouve exposée en une moindre mesure aux mêmes radiations que le tueur.
Et bien sur le Mosquitoman, mâle moyen, veux absolument se reproduire avec une personne de la même « race » que lui. En même temps préparer une copulation, ça demande un estomac plein de sang, et le Mosquitoman étant à la base un tueur de sang froid, il va facilement se remplir la panse de sang chaud…
Pitch à deux balles, CGI foireuse, acteurs à côté de la plaque, le film n'a rien pour lui, hormis une VF qui dans ses meilleurs moments ressemble à une parodie des Nuls. La question est : A quand Larry Koubiak dans Hippopotamman ?
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