affiche film

©mars distribution

FOG

(The fog)


un film de Ruppert Wainwright

avec : Tom Welling, Maggie Grace, Selma Blair...

C'est à la fois un remake et une constatation. Remake d'un des premiers films de John Carpenter, et constatation que vouloir tout refaire est souvent une erreur. Et en voici un exemple type. Si on reprend l'intrigue dans ces grandes largeurs, les personnages, policés au St Marc ménage, sourire Ultra bright en sus, ne correspondent en rien à ceux d'origine, pleins de failles et de terreurs cachées. Les décors restent corrects, encore que la première scène où l'encre libère les âmes laisse pantois quand aux moyens utilisés.

De plus, dès que les revenants apparaissent réellement à nos yeux, ébahis, on a encore l'impression de se retrouver dans la maison hantée du parc d'attraction de chez Disney. Pour résumé, c'est « boooo », mais ça ne fait pas peur. Et même la tentative de love story par delà les époques est pitoyable. Alors en fin de compte, avec ce ratage devant nos yeux, on pourra imaginer ce que ce film aurait donné avec un peu d'audace, de talent et de malice. Pour cela il suffira juste de retrouver le DVD du film de Carpenter de 1979. Seul bémol encore une fois, le maître est crédité au scénario de cette nouvelle version !


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Photo film

Complètement dans le brouillard !

C'est à la fois un remake et une constatation. Remake d'un des premiers films de John Carpenter, et constatation que vouloir tout refaire est souvent une erreur. Et en voici un exemple type. Si on reprend l'intrigue dans ces grandes largeurs, les personnages, policés au St Marc ménage, sourire Ultra bright en sus, ne correspondent en rien à ceux d'origine, pleins de failles et de terreurs cachées. Les décors restent corrects, encore que la première scène où l'encre libère les âmes laisse pantois quand aux moyens utilisés.

De plus, dès que les revenants apparaissent réellement à nos yeux, ébahis, on a encore l'impression de se retrouver dans la maison hantée du parc d'attraction de chez Disney. Pour résumé, c'est « boooo », mais ça ne fait pas peur. Et même la tentative de love story par delà les époques est pitoyable. Alors en fin de compte, avec ce ratage devant nos yeux, on pourra imaginer ce que ce film aurait donné avec un peu d'audace, de talent et de malice. Pour cela il suffira juste de retrouver le DVD du film de Carpenter de 1979. Seul bémol encore une fois, le maître est crédité au scénario de cette nouvelle version !

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