affiche film

© BVI

ECOLE FANTASTIQUE (L’)

(Sky High)


un film de Mike Mitchell

avec : Michael Angarano, Kurt Russell,Danielle Panabaker, Mary Elizabeth Winstead...

Il est le fils des deux plus grands super hĂ©ros de tous les temps. Il rentre Ă  l’école que ses parents ont frĂ©quentĂ© avant lui, afin qu’il devienne Ă  son tour un grand hĂ©ros, mais il y a un problĂšme et de taille : il n’a pas de superpouvoirs ! Alors le temps des Ă©tudes va ĂȘtre dur, partagĂ© entre des cours impossibles Ă  suivre, des amis aux rĂ©actions Ă©tranges, des parents lĂ©gĂšrement dĂ©pitĂ©s et une petite amie trĂšs curieuse, voir trop. Bienvenue Ă  l’école fantastique



3
Photo film

Quand superman allait Ă  l’école


Ce film, une production Disney, reprend le thĂšme, abordĂ© l’annĂ©e derniĂšre avec Les indestructibles, de la vision des super hĂ©ros dans leur quotidien. Mais cette fois-ci on les suit Ă  l’école, non pas de la vie, mais dans l’apprentissage des superpouvoirs. Et c’est sur le ton de la comĂ©die, de l’ironie et de la rĂ©fĂ©rence, que le film embraye avec fraĂźcheur et drĂŽlerie. Car voir l’envers du dĂ©cor est trĂšs drĂŽle, comme cette rĂ©partition des Ă©lĂšves, en fonction de leurs pouvoirs entre super hĂ©ros et simples acolytes, ou la vision de la formation des clans dans la cour, entre vilains et gentils.

Tout cela contribue Ă  donner un cotĂ© dĂ©calĂ© au film, qui se sert des poncifs du film scolaire pour adapter l’enseignement au monde des surhommes. Et mĂȘme si la morale est sauve et comme dans tous les Disney, qu’il faut faire confiance Ă  plus faible et petit que soit, le dĂ©calage permet des moments de franche rigolade. D’autant que les auteurs font rĂ©fĂ©rence Ă  bon nombre de super hĂ©ros, Ă  bon nombre de films et autres sĂ©ries les concernant (avec en vrac superman, les Xmen, Harry Potter
), et ceci par petites touches.

Et puis au niveau du casting, on retrouve dans les seconds rÎles un grand nombre de gueules, avec comme bonus pour les trentenaires, la reine du short moulant rouge et du diadÚme argenté, la trÚs belle Linda « Wonder Woman » Carter. Notons de plus que les effets spéciaux permettent de retrouver une certaine touche certes rétro, mais efficacement spectaculaire.

En fin de compte, un sympathique film de super hĂ©ros en culottes courtes, qui apprennent autant Ă  se servir de leur pouvoir, qu’à embrasser les filles. Sans ĂȘtre pompeux ou lourd, cela permet de passer un agrĂ©able moment en famille.

Donnez votre avis (0)

Partager cet article sur Facebook Twitter