©Metropolitan filmexport
Alors qu'un gang s'attaque aux camions transportant des voitures de luxe, les fanatiques de vitesse se retrouvent eux aussi dans le collimateur de la police, humiliée par les échecs de plusieurs arrestations, ayant mené à des carambolages successifs. Une jeune recrue va devoir enquêter sur ces « autoroute racer », mais va vite se prendre au jeu, de la vitesse, de l'amitié et de l'amour...
Autant le dire tout de suite, Autoroute Racer ressemble étrangement à un certain Fast and Furious. L'intrigue de base est sensiblement la même : un jeune flic intègre les méchants délinquants, et se retrouve le cul entre deux chaise, autrement dit entre son devoir de policier et son attirance vers le groupe et surtout « la fille » ! Sauf qu'ici le jeune n'est pas un top modèle, mais tend plus vers le ringard, et que les méchants voleurs ne font pas partie du groupe.
D'ailleurs le film est fortement discutable sur le fond, excusant presque l'ensemble des agissements débiles (et dangereux) de ces mordus de vitesse. La peinture de la police n'est pas des plus glorieuse, mais cela on s'en moque un peu. Mais surtout l'humour est d'un gras absolu, versant régulièrement dans le pipi caca. Si on s'amuse du côté catalogue Pirelli des personnages féminins, on s'agace des plans façon pub pour le shampoing ou l'après rasage Nenen ( !), et on est surpris par les réflexions du genre, « on aura pas besoin de cric » à un mec qui bande, ou du jet de pisse qui s'éteint lentement sur un homme gentiment électrocuté. Bref, on s'en amuse, mais en groupe seulement.
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